lundi 12 avril 2010

Around the ground

Certains d'entre vous auraient tendance à croire que je m'essouffle à vouloir alimenter ce blog ? Que nenni ;) Ce n'est pas parce que je me fais plus rare sur la toile que je n'ai rien de particulier à vous relater, bien au contraire...

Avant tout, j'aimerais vous présenter Steve Carroll (alias Stereo Carver), que j'ai découvert sur Second Life par le plus heureux des hasards^^ alors qu'il y donnait son premier concert, et vous faire aussi profiter de ses quelques magnifiques morceaux dénichés sur myspace :))

Il y a eu aussi cette expo photos "Transit", des N&B (mais pas exactement... juste quelques touches éparses de couleurs) prises sur le vif à la gare St Lazare par Fabien Gaudichau (alias Anathaniel Gausman in game), dans lesquelles d'énigmatiques personnages défilent, se meuvent, transitent, rythmés sur les diagonales, les courbes, les différentes profondeurs de champ si singulières à ce lieu mythique, tels des passagers en partance vers des destinations dont ils sont les seuls détenteurs.
St Lazare
Photo d'un sol en mouvance (bon... j'avoue, j'y ai mis du bleu... )

Et puis, il y a cette rencontre avec Lolmac Shan... à propos de son Lost World,
post sur lequel j'ai longuement hésité... tant il est difficile d'écrire sur un lieu aussi connu, sans faire de redites :(
Que dire de son approche... sinon qu'elle est trompeuse... et que derrière son obscure accession, se cache un joyau aux multiples facettes ;)) - (heu... je ne parle pas de Lolmac là...)
Aussi, c'est autour d'un verre qu'il a eu la gentillesse de répondre à mes questions, autour de ce verre qu'il a bien voulu me confier les secrets de son île... d'où il est allé puiser jusque dans ses rêves d'enfant, pour en ressortir les plus belles images, au détour des ruines, des vestiges, dans sa jungle sauvage qui se dévoile petit à petit lorsqu'on y accoste, et qui surprend par tant de beautés... son monde qui ne sera dorénavant, plus jamais perdu...
A propos de Lost World...



2 commentaires:

Anonyme a dit…

We are all but up to date leaves on the unchanged over the hill tree of sustenance and if this fixation has adapted itself to trendy functions and conditions, it uses the constant old central principles in excess of and through again. There is no legitimate difference between the squealer and the restrain who mows it.

Anath. a dit…

Merci pour ton passage entre les lignes, courbes, blocs mouvants de nos existences, simplement merci de poser tes mots sur mon regard.