Cela pourrait commencer comme une fable...
Un jour, un Renard affamé
Au bord de l'eau, vint s'attarder.
Dans les miroitements brouillés,
Il crut apercevoir un rapace noyé.
Tout heureux à l'idée du festin qu'il ferait,
Il se jeta à l'eau, les babines alléchées...
Un jour, un Renard affamé
Au bord de l'eau, vint s'attarder.
Dans les miroitements brouillés,
Il crut apercevoir un rapace noyé.
Tout heureux à l'idée du festin qu'il ferait,
Il se jeta à l'eau, les babines alléchées...
L'envergure de la tache ne lui fut pas aisée...
Que de vaines répétitives et inefficaces plongées !
Quant à la suite, je vous laisse imaginer...
Les histoires les plus courtes sont les plus appréciées...
Et pourtant... qu'interdire de rêver
N'est-il pas synonyme de contre-liberté ?
Quant à moi, je les ai observés...
Qui de l'un ou l'autre sera dévoré ?
A vrai dire, je ne sais...
Que de vaines répétitives et inefficaces plongées !
Quant à la suite, je vous laisse imaginer...
Les histoires les plus courtes sont les plus appréciées...
Et pourtant... qu'interdire de rêver
N'est-il pas synonyme de contre-liberté ?
Quant à moi, je les ai observés...
Qui de l'un ou l'autre sera dévoré ?
A vrai dire, je ne sais...
2 commentaires:
Je n'arrive pas à imaginer une fin tragique pour le renard si tu es dans le coin: spectatrice indifférente, ce n'est pas toi. J'imagine une main secourable, des bras protecteurs, une voix apaisante et des conseils hautement pédagogiques :)
En fait, je déteste finir les histoires ;) et c'est sans doute pour ça que j'aime trop bien les points de suspension...
Néanmoins, je te rappelle tout de même Sara que les dragons, ça n'existe pas ;))
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