Je reviens d'un bord de mer aux douces rumeurs des vagues langoureuses, tendant des langues insatiablement désireuses de caresser leur plage, telles des léchouilles amoureuses... quelque part aux portes de l'Orient, d'un endroit qu'Hérodote avait coiffé du plus beau ciel du monde, d'un quelque part enchanteur, fertile, où mûrissent figuiers, mandariniers, grenadiers, oliviers, cotonniers... là où la cité Aphrodisias découverte par le Français Paul Lucas, connut jadis son apogée quelque part dans la grande vallée du Meandros, câlée entre les chaînes montagneuses Taurus et Pontus, justement là où éclate l'immaculé "Château de Coton" accolé à l'antique Hierapolis... mais là, il n'y a rien d'Esselien...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire