Langueurs...
Langueurs... comme ces dernières secondes qui séparent de l'orage, quand l'atmosphère atteint son paroxysme de lourdeur, de moiteur et d'oppression, quand ce paroxysme décline lui-même et sombre brutalement derrière le soleil, pour se charger d'électrons indisciplinés...
2 commentaires:
Un petit coucou en passant par là, ton blog fait toujours autant rêver, je te fais des gros bisous et espère que tu va bien.
Victoire Catteneo
Eh bien, l'orage passé, je me sens mieux lol :)
Plein de bisous à toi aussi Victoire :)
Merci pour ton coucou ici :))
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